L’Harmattan, 2006. 280 p. 25 €
On apprend quand on est censé savoir, et on apprend mal alors qu’on en a tout le loisir. Que faut-il pour qu’une relation s’établisse entre un apprenant et un objet à connaître ? Pourquoi ne s’interroge-t-on pas sur cette relation quand on prétend lutter contre l’échec scolaire ? Quelles conditions permettent de s’approprier un savoir ? Cet ouvrage se propose un modèle pédagogique où s’articulent les deux conditions qui fonde l’efficacité de l’acte d’apprendre, entreprendre et chercher.