Friedrich Nietzsche, Pierre Klossowski (Traduction) : Le gai savoir

Éditeur : Gallimard (22 août 1989)

Collection : Folio

Quatrième de couverture

 » Toute philosophie qui assigne à la paix une place plus élevée qu’à la guerre, toute éthique qui développe une notion négative du bonheur, toute métaphysique et toute physique qui prétendent connaître un état définitif quelconque, toute aspiration, de prédominance esthétique ou religieuse, à un à-côté, à un au-delà, à un en-dehors, à un au-dessus-de, autorisent à se demander si la maladie n’était pas ce qui inspirait le philosophe (…) J’en suis encore à attendre la venue d’un philosophe médecin qui un jour aura le courage d’oser avancer la thèse : en toute activité plilosophique il ne s’agissait jusqu’alors absolument pas de trouver la  » vérité « , mais de quelque chose de tout à fait autre, disons de santé, d’avenir, de croissance, de puissance, de vie… « 

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