II. Web-marketing : management de l’information dans une société de recrutement

Par Andrea JÁNOSI

Solution proposée

Réalisation des objectifs

Le projet s’est déroulé dans une grande assurance et autonomie, comme cela a pu être prévu avant de s’engager dans cette société. En tant que collaboratrice, j’étais bien intégrée dans l’équipe, qui peut être en même temps l’entreprise elle-même.

Bien que les membres ne soient pas continuellement présents dans les locaux parisiens, je suis en contact avec eux régulièrement, et en cas de besoin, par courrier électronique, téléphone, logiciel de communication par Internet, avec la directrice de marketing, le directeur général, la nouvelle équipe informatique. J’ai également eu l’occasion de rencontrer la personne propriétaire de la franchise en Inde, lors de son passage aux bureaux de Paris, avec laquelle j’avais de brèves discussions sur Internet préalablement.

Dans une petite structure, apparemment, la préoccupation n’est pas les grands projets, car, en effet, la file administratrice dans le travail du personnel est le rendu hebdomadaire des tâches effectuées. Cette habitude sera efficace toute au long de l’action comme un moyen de mesure de l’avancement du travail de la personne, stagiaire ou autre personnel, – si les tâches sont partagées, elles peuvent avancer plus rapidement et peuvent s’ouvrir à de nouveaux objectifs.

Enfin, j’ai réalisé plus que ce qui a été désigné pour le rôle de stagiaire. En effet, pour être au niveau de notre formation, j’ai du effectuer plus en mettant en place une ontologie avec l’aide de l’informaticien. Cette personne était intégralement de même avis concernant l’utilité du web sémantique et de mon ontologie, et m’a soutenu dans mon projet.

Ontologie Informatique avec Protégé

La solution que j’ai proposé relève de traitement automatique de la langue naturelle (TALN) avec l’application de l’ontologie informatique.

Je ne souhaite aucunement de détailler les théories apprises dans le cours de M. Laublet, mais mentionner quelques éléments théoriques de base.

Le Web sémantique nécessite des méthodes et application pour visualiser le contenu. Par ce présent projet, j’ai choisi d’appliquer le langage de représentation d’ontologies plus complexe, le OWL, avec un logiciel en but de gestion de connaissances dans un domaine ou branche choisi : recrutement de cadres dirigeants en intérim.

Le web sémantique ou Web 3.0 est une extension du web actuel avec le flux RSS, ou RDF Site Summary, largement utilisé en entreprise, les blogs, les wikis, discussions en ligne, d’une grande variété des fichiers (.doc, .pdf, .jpg, .waw) etc. Le RDF réseau sémantique de base, représentation de connaissance simples sous forme de triplets comme sujet, verbe, objet d’une phrase élémentaire.

Avec le web sémantique, on peut représenter formellement la signification du contenu de notre site. On résonne formellement sur cette représentation par l’inférence de notions. Annoter les ressources sémantiquement, réseaux sémantiques..

L’ontologie est au cœur du web sémantique. Elles sont des représentations de connaissance plus que de simple collecte de relations, gérés par un système informatique. Les caractéristiques décisives de l’ontologie est la possibilité de comparer et classer les concepts et la capacité inférentielle par la modélisation. En d’autres termes, on met en place des modèles informatisables répertoriant les notions, concepts et relations tout en les formalisant.

Les moteurs aujourd’hui vont déchiffrer les réseaux des concepts et de relations dans la description de l’ontologie montée. La recherche se fait par des concepts pas seulement des mots-clé. En effet, le Web sémantique ne se base pas simplement sur des mots-clé, mais sur des concepts du domaine. Ainsi la navigation n’est plus avec des liens simples, mais sémantique. Ce qui veut dire que nous avons des réponses à des questions et non pas un simple liste de document contenant la requête. La taille de la page peut être personnalisée, elle n’est pas imposée de façon similaire aux utilisateurs.

Protégé 3.3.1

C’est un logiciel libre (open source) développé en langage JAVA par l’Université de Stanford des Etats-Unis. Cette plateforme est utilisée pour la gestion de connaissance d’un large public, académique, gouvernementale, entreprise privée, biomédicale etc. C’est un éditeur d’ontologie informatique exportable en différents formats rdf, rdf(s), XML Schema, owl. L’éditeur OWL est le plus développé que j’ai utilisé pour le Web sémantique. Il offre les outils d’édition d’ontologie, concepts, propriétés, instances.

Je n’ai guère eu besoin de coder en rdf. J’utilise simplement l’interface de saisie de Protégé 3. 3. 1., qui encode les données en langage standard rdf, exporté en owl (Web Ontology Language), langage de représentation d’ontologies d’un niveau plus complexe. Le raisonnement acquiert une importance indéniable, l’ontologie informatique n’étant pas une simple taxinomie ou encore thésaurus, bien qu’ils aient leur rôle favorable dans la réponse des requêtes documentaires. Le langage d’ontologie du Web (OWL) est le langage de représentation de connaissance, et la mise en valeur de la propriété intellectuelle de cette entreprise accumulée durant ces huit années. Relation hiérarchique décrivant le domaine en terme de classes, correspondant aux concepts et des propriétés, correspondant au relations. Possible d’ajouter des triplets descriptifs sans difficulté Chaque élément de l’ontologie appartient à une suele catégorie, c’est-à-dire qu’un même objet ne peut être défini à la fois comme une classe et comme une propriété.

Certains nouveaux éléments deviennent des caractéristiques indispensables avec l’évolution d’Internet. Le concept permute avec nouvelles options, discussions échange de fichier en ligne ou différée (forum, enchère, chat), animation, voire TV en ligne, etc. Aujourd’hui, nous nous approchons vers le Web 3.0. ou sémantique (2010), sujet de notre formation universitaire, ou même vers le Web 4.0. ou collaboratif (2015) . Le projet de la mise en place de l’ontologie, reliée au site Internet en anglais, a atteint sa mise en ligne. Il y avait besoin encore d’une finalisation et vérification des relations (slots) à examiner ainsi que de la confier à l’une des personnes de l’équipe informatique afin de mettre dans l’architecture du site.

J’ai réalisé donc une ontologie de type d’application, notamment Entreprise Ontologie , c’est-à-dire une spécialisation d’une ontologie du domaine des ressources humaines, notamment des cabinets de recrutement spécialisés en top management et en intérim.

La méthodologie de construction de l’ontologie

Dans la phase de conception, j’ai constaté le besoin urgent de meilleur référencement du site pour les moteurs de recherche. Durant notre formation, nous avons pu connaître les possibilités et les cas de développer une ontologie informatique. J’ai aussitôt soulevé cette problématique et comme un brainstorming, en effectuant d’autres tâches, j’ai réfléchi aux potentialités et avantages d’une ontologie du domaine de recrutement, d’un cabinet d’intérim pour cadre dirigeant au niveau international. Ce cabinet possède son site, ses théories de recrutement, sa méthodologie etc. La transcription de métadonnées en version anglaise du site, on clairement montrées dans cette étape d’évaluation, que l’ontologie est conductible dans l’architecture du site Internet.

J’ai donc, commencé l’acquisition de connaissances pour générer de nouvelles connaissances à partir de celles acquises à l’étape précédente, des metadata. J’ai analysé mon corpus et j’ai ajouté un liste de synonymes de concepts primordiaux. La conceptualisation des données s’est réalisée autour du concept « management on demand » et les pages d’accueil du site, comme document textuel. J’ai intégré et formalisé ensuite les classes et relations dans l’ontologie au fur et à mesure, tout en continuant les autres nouveaux et anciens projets. L’ontologie a eu plusieurs versions, car j’ai omis la partie documentaire descriptive.

Enfin, avec l’aide du webmestre, nous avons pu implémenter à notre site web dans la phase d’édition. Une ontologie effectivement, n’a pas de prototype final, mais elle évolue constamment dans sa cycle de vie.

Le corpus de base est constitué à partir du recueil de descriptions et de mots-clé des métadonnées déjà insérées dans les pages du site. L’ontologie se formalise à partir du texte de site Internet, notamment les premières deux pages qui définissent la notion de « managment on demand ». Cette démarche m’a permis de me familiariser avec le domaine. De plus, ces mots-clé étaient recueillis sous le tutorat de la responsable, un expert du domaine. Note : la problématique de la linguistique et du marketing a été traité plus haut.

L’ontologie, en tant que base de connaissances, contient des concepts relatifs à un domaine. Ainsi, là on parle de hiérarchie de relations. Dans notre exemple : « Company » est superclasse de « Subsisiary », de « Acquisition » etc.

Un terme ne peut être nom de classe, sous- classe et noms d’attribut (instance) à la fois. Il m’était possible de décider clairement qu’est-ce qui sera un attribut et qui un sous- classe, en fonction de l’importance de concept décrit sur le site. Par exemple, dans cette présente ontologie « temporary, flexible, permanent » ne peuvent pas être de sous-classes de l’ « Executive_recuitment » mais des attributs.

Non seulement, on peut avoir l’arborescence hiérarchique des termes : en plus, nous pouvons avoir cette connaissance : les managers ne sont que des managers identifiés ; l’entreprise est le partenaire de l‘entreprise partenaire etc.

Les objets de l’ontologie possèdent des caractéristiques (slots). Sur la gauche de l’écran se situe une arborescence représentant toutes les classes selon leur hiérarchie. Certains objets « Methodology » possèdent plusieurs instances en fonction de la résolution sur les « four_steps, strategic, strategic_search » etc.

Le concept, classe ou relation de sous-classe en OWL peut être un terme, la déclaration d’unt ype réel : Une fonction à valeur dans vrai, faux, Boolean ; un concept caractérisé par son intention, l’ensemble des concepts que ce concept comprend, Integer ; un concept caractérisé par son « essence » qui est incluse dans son intention ; un concept engendre des objets plus ou moins indéterminés qui sont typiques ou atypiques ; un concept comme un générateur d’objets extensionnels (son extension), String ;

Un concept comme un générateur d’objets extensionnels : String Name « current_job_title » Domain « Candidate »

Instance Name « recruitment_agency » Superclass « Europe » Domain « Manager », « Candidate »

Find « Management Job » Inverse_of_find « Job Management »

Class Name « increase » Superclass « Management_transition » Domain « Solution », « Success » etc.

Symbol Name « term » Values « week_first », « week_two_three », « week_three_four » Domain « Phases », « Four_weeks » etc.

Exemple de Documentation : pour la classe « Methodology » : Our methodology succeed you to meet the experts for Interim Management, Executive Recruitment and Executive Search. « Company » : The international recruitment agency management transtition offers you to set up your own international recruitment agency as a franchise in your region with focus on international top executive recruitment. Etc.

Quant à la compréhension de la modélisation de mon projet, j’ai demandé l’aimable assistance de notre professeur d’université de cette matière, M. Philippe Laublet. Son retour d’avis était favorable, même si non détaillé en raison de nombreuses obligations de la rentrée à l’université, il y avait vu « des choses intéressantes ».

J’ai crée l’ontologie « management on demand » avec la méthodologie de construction d’ontologie à partir de zéro. Le site Internet en place ne possède pas toutes les optionalités du Web 2.0, cependant ceci n’empêche aucunement d’avancer vers les nouveaux horizons du Web 3.0 en faveur de l’optimisation et meilleur référencement du site par les moteur de recherche. Toutefois, la réussite de cette démarche ne peut être mesurée par des statistiques quantitatives et qualitatives par moi-même, car la période de mon stage a été raccourcie. Il y aurait besoin encore de quelques semaines, voire un mois.

Ainsi, il y a nécessité de la description explicite du contenu des pages Internet, encore proportionnellement peu utilisé. L’objectif en plus des liens est que l’utilisateur trouve les ressources adéquates à sa recherche, une bonne analyse des pages en dégageant les bonnes informations, de combiner les différents résultats entre eux. Ainsi la couche sémantique permettra la représentation formelle et la structuration des ressources et des contenus traités par les machines et logiciels. C’est en fait, ces derniers qui pourront utiliser les réseaux et les relations présents dans les descriptions et surtout combiner les significations.

Enfin, je peux conclure l’importance des langages standard comme OWL, RDF. Ils permettent que les descriptions nécessaires soient crées par les éditeurs par des outils d’annotations de texte et/ou d’images. Ils admettent aussi que ces descriptions soient stockées dans ces fichiers RDF, OWL et d’autres bases de données. Ces dernières sont recherchées par des langages standardisées, présentées de plus en plus par les navigateurs sémantiques, et échangées entre ces applications et bases de données.

Evaluation et perspectives

J’ai remarqué, en travaillant avec des nombreux fichiers et dossiers, qui ne faisait que d’augmenter au fil du stage, le besoin d’une base de connaissances. En effet, j’ai pu observer que cela existe dans la base de données des contacts, cependant mon accès est limité pour pouvoir l’exploiter. Cela serait une possible opportunité à planifier pour les futures phases du stage. Il manque une base de connaissances commune dans l’équipe. Bien que la directrice en ait la possibilité de développer une sous son compte au Control Panel, ce qui ne m’étais pas profitable. Il n’est certainement plus efficace de travailler aujourd’hui avec des fichiers de bureautique d’il y a une décennie. Le manque de personnel et la quantité de travail, les changements dans le service informatique m’ont influencé.

À mon arrivée dans l’entreprise, j’ai pensé intuitivement à une qualification et certification des cabinets de recrutement, à la norme iso, affiché sur le site Internet. Si l’obtention d’une certification n’est pas la preuve absolue de la qualification du cabinet de recrutement, c’est au moins l’assurance d’un certain sérieux. Au contraire, l’absence de certification n’est pas un gage de manque de professionnalisme. A preuve, peu de cabinets sont aujourd’hui certifiés. Toutefois, notre époque inquiète raffole des labels et des certifications, il est probable que les cabinets de recrutement devront en tenir compte dans le futur. Cette période n’est vraiment pas ambitionnée par ce type de projet.

La proposition de rédaction de flux RSS, qui n’existe pas pour ce site, était évident, d’autant plus qu’il y beaucoup de nouveautés qui se réalisent autour. Malheureusement, la direction n’a pas encore pu l’avancer sur la liste des tâches informatiques.

L’intégration d’un moteur de recherche générale (en plus de celui des candidats) sur le site, selon moi, est un élément inéluctable afin d’assurer sa logique, son dynamisme et sa rapidité. En utilisant le site, j’étais assez étonnée qu’il n y it un moteur en place, car j’ai rencontré des nouvelle notions, que je ne connaissez pas. Alors j’ai du fouiller les pages une par une et pour une navigation rapide, j’ai senti le besoin du moteur interne. De plus, il n’est pas très compliqué à le mettre en place, il existe des téléchargeables, de plus Google rémunère l’utilisation de son outil tout prêt. Je pense que le moteur de recherche générale d’un site est déjà habituel dans le cas du Web 1.0, qui aide s’orienter le visiteur dans le site lui-même. Le plan du site sert également à le guider, qui est bien en place sur notre site, mais un moteur semble plus rapide.

Début du mois de juin, l’idée m’est survenu d’insérer une séquence de vidéo de présentation de la société (car fichiers .ppt existent qui pourront servir de texte de base) par le PDG ou un autre dirigeant de l’entreprise, sur le site, en espagnol, en anglais, en allemand etc. Ce petit projet digne de web 2.0 aurait multiplié les types de fichiers insérés au site. En effet, de point de vue desoutils de recherche la variété des éléments attaché au site augment sa popularité. Le projet a été accepté par ma responsable, pour le 25-26 juin Question : serait-il opportun de le mettre sur youtube : oui car un lien tres puissant et populaire qui ponte vers « nous ».

J’ai suivi durant mon stage, les quelques changements concernant le site Internet du cabinet : des versions en plusieurs langues, notamment, espagnole, grec, un nouveau moteur dans la base des contacts, développement de son contenu, les nouvelles métadonnées, le projet d’ontologie etc. Cependant, ce sujet n’est pas au premier plan des projets. En effet, de point de vue budgétaire, il y a raison d’investir plus pour plus de résultats.

Pour améliorer radicalement le site, je partage entièrement l’avis avec l’informaticien, de ne plus toucher à cette version, et en parallèle monter un projet totalement innovant pour lancer un nouveau site adapté aux nouvelles normes de web 2.0, et web 3.0. Un projet de qualité nécessite un important investissement financier et temporel.

Le développement des métadonnées pour le site français, à peine commencé, j’ai cueilli les synonymes correspondants aux mots-clé indispensables définies par la direction, qui sera un projet indispensable à continuer, de même que pour les autres langues de cette société.

L’utilisation des ontologies en recherche d’information, vise à dépasser les limites de la recherche basée que les mots-ce, elle est un des enjeux actuels du Web Sémantique. En conséquence, ici, l’index est non seulement construit sur la base des mots présents dans les documents (pages html, pdf etc.) mais sur la base des concepts présents dans l’ontologie. Ce fait a deux avantages : d’abord, la présentation des résultats de recherche peuvent s’effectuer suivant les catégories présentes dans l’ontologie, (pour cela la stratégie de développement des concepts), ensuite, la formulation et le raffinement de requêtes (de mots-clé classiques à des interrogation ontologiques, c’est-à-dire, traitement des relations spécifiées) peuvent reposer sur un vocabulaire structuré fourni par l’ontologie.

Une fois construite, l’ontologie est appelée à évoluer afin de prendre en compte les changements induits par les nouveaux besoins qui peuvent apparaître. Les changements peuvent concerner la structure conceptuelle, ajout de nouvelles définitions, de nouvelles classes etc. Les opérations d’enrichissement et de maintenance de l’ontologie établie par de nouveaux termes pour désigner les concepts est particulièrement souhaité dans le cadre de son utilisation pour la recherche d’information. Dans notre cas, c’est valable concernant le projet d’un nouveau site, pour aller jusqu’à la proposition de réaliser ce projet à partir de l’ontologie existante. Il existe deux approches de gestion de versions, l’une basée sur les traces de changement, et l’approche sur la comparaison de version, qui sera le projet d’un autre jour.

J’ai découvert et téléchargé un analyseur de popularité de site en ligne : Compete. Il montre, en bas ou en haut selon le navigateur, le nombre total de personnes connectées sur un site donné (+ de 135 millions pour gmail) et son rang parmi les sites Internet (1er gmail, 2e Yahoo !), de même que la fiabilité d’un site. De plus, à la fin des descriptifs de chaque résultat dans le moteur de recherche sont également affichés ces détails. Cependant, il existe des sites où cette option n’est pas affichée. Pourquoi et surtout pourquoi pour le site lui-même non plus, serait un projet de découvrir.

CONCLUSION

Pour conclure, j’ai pu constater que dans une petite structure, vraisemblablement, les démarches sont similaires, car selon mes expériences, dans une grande entreprise, les activités sont plus cadrées et plus méthodiques. Les tâches quotidiennes ou hebdomadaires ont de l’importance, mais il n’y a pas de présentation et de participation aux grands projets, similaires aux entités plus larges. Néanmoins, ma liberté et autonomie d’organiser mon travail était un nouveau pragmatique ingénieux.

Les activités les plus enrichissantes et intéressantes, liées au web-marketing et optimisation du site, sont certainement la recherche et fouille de l’information, le contact clients, de même que la réalisation d’une ontologie et la traduction, même moindre, vers le Hongrois. La navigation régulière et très habituelle de chaque tâche m’a en effet permis d’acquérir une grande flexibilité et rapidité de travail sur Internet. Le contact avec des personnes en interne ou les clients est inévitable et important dans le travail professionnel. Mes connaissances sur l’ontologie se limite à l’outil, Protégé. Toutefois, je suis reconnaissante à ma responsable d’avoir pu développer mes connaissances théorique et pratique en réalisant ce projet. La traduction en Hongrois n’était qu’un test pour une éventuelle expérience suivante, auquel je m’engagerais sans hésitation.

La réponse à la problématique imposée par le marché est éclairée d’une certaine façon à ce stage d’analyse. Les concurrents ont le moyen financier pour payer l’abonnement google adwords étudié dans ce stage. Il serait incontestablement nécessaire de voir plus loin – sujet d’un autre travail – ce que les concurrents mettent en place qui n’ont pas recours à cet investissement.

Éléments bibliographiques et webographiques

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Marketing :

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http://www.seoworkers.com/seo-articles-tutorials/using-noodp-and-noydir.html

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Dictionnaires :

http://www.wordreference.com/enfr/

http://www.freelang.com/enligne/hongrois.php ?lg=fr

http://www.webforditas.hu/index.php

Communautés virtuelles :

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