Le langage et la mort. (notice bibliographique)

 » Dans la tradition philosophique occidentale, l’homme apparait comme le mortel et, en même temps, comme le parlant.

Il est l’animal qui a la « faculté » du langage et l’animal qui a la « faculté » de la mort. Tout aussi essentiel *est ce rapport dans l’expérience chrétienne.

La faculté du langage est la faculté de la mort : le lien entre ces deux « facultés », toujours présupposé chez l’homme et toutefois jamais radicalement remis en question, peut-il réellement rester impensé ? Et si l’homme n’était ni le parlant, ni le mortel, sans cesser pour autant de mourir et de parler ? « 

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