Max KOHN : « Traces de psychanalyse »

Editions Lambert-Lucas, Limoges, 2007. 430 p. 36 €

Max KOHN est né le 18 avril 1951 à Paris. Psychanalyste membre d’Espace analytique, il est maître de conférences habilité à diriger des recherches à l’Université Paris 7 – Denis-Diderot, UFR de Sciences Humaines Cliniques. Membre de l’unité de recherche rattachée au CNRS « Psychanalyse et pratiques sociales », FRE 2788, il est aussi psychanalyste à la Maison de la mère et de l’enfant à Paris (Fondation Albert Hartmann, Société Philanthropique). Lauréat du Prix Max Cukierman en 2006.

Traces de psychanalyse parle de ce qui reste d’une psychanalyse, signifiance de la trace, qui n’est pas un signe. Une démarche invisible imprime des pas sur la neige, traces d’un passage.
Ce recueil des articles de Max Kohn parus de 1979 à 2006 est divisé en quatre parties : Préanalytique, Récits, Evénements, Traces. Par Préanalytique, il faut entendre les textes de Freud qui vont de 1877 à 1897 et qu’il n’a pas incorporés à ses Œuvres complètes. Que se passe-t-il là ? La psychanalyse a lieu. La même question fait ensuite place à des récits, à des événements, à des traces. Le yiddish y fait lien entre Freud et Lacan. L’inconscient est structuré comme un langage : cela passe par les langues, dont le yiddish, langue hybride et de fusion, qui pose la question universelle du transfert à une langue.

(Quatrième de couverture)

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