POUR UNE APPROCHE ETHNOPSYCHIATRIQUE EN INSTITUT MEDICO EDUCATIF par Docteur Jean-Pierre DUMONT, Psychiatre

Paru dans : Bulletin régional : Communautés éducatives & Intégration, n°16, 1988, Massy

La situation de cette journée d’études entre deux consultations électorales nous oblige, afin d’éviter toute dérive, à en repréciser les objectifs.

Sur le terrain, dans les structures médico éducatives, les équipes se confrontent à des jeunes de cultures et de langues extrêmement diversifiées, dont l’approche pédagogique et thérapeutique est rendue complexe en raison de la difficulté à établir une communication, de l’absence de demande, de l’insatisfaction face aux diagnostics posés pour ne pas dire plaqués. Comment, de sa place et de sa fonction, en dehors de toute politisation, répondre PROFESSIONNELLEMENT à cette situation ?

Totalement incompétent en ce qui concerne l’approche pédagogique, je ne me risquerai à quelques réflexions que dans le champ thérapeutique, en guise d’introduction à cette matinée, placée sous le signe de l’ethnopsychiatrie, et en réduisant mes propos à la problématique du migrant maghrébin (11).

Hongrois d’origine, élève de Geza ROHEIM, polyglotte, passionné de mythologie grecque, homme de terrain, ethnologue et psychanalyste (hélas peut être trop sectairement anti lacanien), spécialiste des Indiens MOHAVE d’Amérique du Nord et des SEDANG MOI du Vietnam, émigré aux Etats-Unis avant de revenir en France comme Directeur d’Etudes à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, vous avez sûrement reconnu Georges DEVEREUX, l’inventeur de l’ethno psychiatrie dont l’ouvrage essentiel « De l’angoisse à la méthode » n’aura été traduit en français qu’en 1980, peu d’années avant sa mort.

Il définit ainsi les trois types de psychothérapies en pratique ethnopsychiatrique :

– intra culturelle : thérapeute et patient appartiennent à la même cul ture, mais le thérapeute tient compte des dimensions socio culturelles

– inter culturelle : thérapeute et patient n’appartiennent pas à la même culture, mais le thérapeute connait bien la culture de l’ethnie du patient et l’utilise comme levier thérapeutique.

– méta culturelle : thérapeute et patient appartiennent à deux cultures différentes. Le thérapeute ne connait pas la culture de l’ethnie du patient, mais il comprend parfaitement le concept de « culture » et l’utilise dans l’établissement du diagnostic et la conduite du traitement.

Transculturelle est utilisé indifféremment dans ces deux derniers sens. Quand il est adressé à l’âge de 7 ans à l’externat médico pédagogique, pour échec scolaire et troubles du comportement, il est décrit comme énurétique, encoprésique mutique, avec tendance à l’isolement, passant son temps seul derrière les portes. Lors du premier entretien en vue de son admission, c’est un enfant un peu sur ses gardes tout en cherchant le contact, parlant peu mais suffisamment pour que soit notée une bonne étendue de son vocabulaire, qui dessine un bonhomme têtard et demande tout simplement à aller aux toilettes. Le jour de son admission, aucun des symptômes décrits par l’école n’est présent, hormis le retard ou l’échec scolaire banalement étiqueté débilité moyenne chez un enfant maghrébin. A diagnostic banal, cursus banal, c’est à dire EMP, IMPro puis CAT.

Une approche ethnopsychiatrique aurait peut être permis d’envisager les choses différemment, en posant par exemple le symptôme « débilité » comme symptôme d’un refus d’acculturation, touchant directement l’enfant, ou indirectement, l’enfant étant alors le lieu de projection du désir parental. Parler en terme d’acculturation ne se conçoit qu’à la condition d’en donner une définition. C’est l’ensemble des phénomènes résultant d’un contact continu et direct entre groupes d’individus appartenant à différentes cultures, et aboutissant à des transformations affectant les modèles culturels originaux de l’un ou de ces deux groupes (4).

Transparaît là, en filigrane, l’opposition entre culture dominante et culture dominée, sur quoi je reviendrai, après avoir brièvement abordé trois points :

- le concept d’identité ethnique

- l’utilisation de la langue maternelle et de la langue d’accueil et en quoi cette utilisation fait sens

- les conséquences de la politique d’arabisation au Maghreb.

Sous le terme d’identité, écrit André GREEN (16), plusieurs idées se rassemblent. L’identité est attachée à la notion de permanence, de maintien de repères fixes et constants échappant aux changements pou vant affecter le sujet ou l’objet par le cours du temps. En deuxième lieu, l’identité s’applique à la délimitation qui assure de l’existence à l’état séparé, permettant de circonscrire l’unité, la cohésion totalisatrice indispensable au pouvoir de distinction. Enfin, l’identité est un des rapports possibles entre deux éléments par lequel est établie la similitude absolue qui règne entre eux, permettra de les reconnaître pour identiques. Ces trois caractères vont ensemble

Constance, Unité, Reconnaissance du même c’est à dire Etre, Etre un, Reconnaître l’un.

L’identité ethnique (par exemple l’arabité pour le migrant maghrébin) n’est pour DEVEREUX qu’une étiquette utilisée en cas de cri et il préfère parler de personnalité ethnique qui renvoie aux mécanismes d’identification (9).

Il est cependant intéressant de noter comment l’identité ethnique se transforme en identité linguistique dans la relation langue arabe/ arabité (15). Le Prophète aurait dit que l’arabité ne vient pas du lignage mais de la langue. De là, vraisemblablement, découle l’attitude de l’Islam face aux particularismes, la diversité des dialectes n’ayant jamais été ressentie comme facteur de division. Etre arabe renvoie à une définition essentiellement linguistique (14).

Pour le migrant maghrébin, l’identification se révèle comme un concept opératoire permettant de saisir le jeu entre les déterminants sociaux et le projet individuel, ce qui amène Isabel TABOADA à poser des questions essentielles (20) :

– Quelles sont les relations entre l’identification et l’insertion du migrant dans le pays d’accueil ?

– Quelles sont les conséquences de l’émigration sur l’identification et la personnalité du migrant ?

– L’adaptation aux nouveaux cadres de référence produit elle une crise d’identité destructurante, et, dans ce cas, sous quelles conditions et de quelle manière une restructuration peut elle avoir lieu ?

Parallèlement à cette dynamique destructuration/restructuration, il serait tentant de raisonner en termes de déculturation/acculturation, la déculturation d’un trait culturel étant le processus par lequel on le dépouille du sens qu’il a dans la culture (5).

En ce sens, on peut parler d’une déculturation de la langue française, souvent réduite à un outil purement technique assimilé à l’instrument de modernité, par rapport à la langue arabe assimilée au traditionnalisme. Déjà, en 1962, Ben Bella qualifiait la langue française « d’instrument véhiculaire indispensable à la compréhension et à l’utilisation des techniques modernes ».

Identité, identification, charnière entre le sociologue et le psychologue, oscillation entre deux points de repère. Ici et là bas, tout se joue dans l’opposition dehors/dedans.

D’un cÔté, c’est l’in group/out group de LEVI STRAUSS : nous nous disons français pour signifier que nous ne sommes pas italiens ou espagnols (17).

De l’autre, c’est la problématique du rejet et de l’incorporation dans le processus identificatoire. Ainsi, dans un numéro d’Alger républicain de 1962, un lecteur rejetait tout recours à la langue arabe, vécu comme une simple satisfaction d’amour propre, pour prÔner l’utilisation quasi exclusive de la langue française, langue de la modernité, de la technique et de l’ex Mère Patrie (je cite).

Ainsi le migrant se trouve dans une situation de double dépendance, à l’égard à la fois du désir dont il est supposé être l’objet, et du désir qui prend pour objet ce qui s’aliène de son propre corps (16).

Si les enfants maghrébins admis en externat médico éducatif parlent français avec les gens de l’institution, ils refusent par contri presque systématiquement de répondre en arabe, ou même de donner l’impression qu’ils ont compris, lorsqu’un membre de l’institution s’adresse à eux en arabe.

Cette utilisation des deux langues, maternelle et d’accueil, dans des conditions spécifiques, en pose la question du sens. Un langage vernaculaire, local, parlé spontanément, moins fait pour communiquer que pour communier, peut seul être considéré comme lanque maternelle (13). Comme presque tous les auteurs, DEVEREUX soulignait l’importance de ne pas réduire le langage à une communication (17) :

« Il importe de se souvenir que les premiers vagissements du nourrisson ont valeur d’expression, non de communication, qu’ils transmettent des affects non des pensées, des souhaits ou une information conceptuelle ».

Chez les enfants maghrébins se fait donc jour un paradoxe, à savoir que la langue maternelle n’a plus valeur de langage vernaculaire, avec parfois même le refus de parler leur langue remplacée par celle qui permettrait la meilleure ascension sociale, la langue de reproduction de la classe dominante au sens de Bourdieu et Passeron (2).

Le parallèle peut aussi être établi entre arabe/français et arabe dialectal/arabe littéraire, puisque dans de nombreux textes traitant de la politique d’arabisation en Algérie, il n’est pas fait référence à la langue maternelle, à l’expression spontanée, sauf pour la rejeter, allant jusqu’à qualifier l’enseignement de l’arabe dialectal d’ineptie culturelle (14).

Si, sur le plan sociologique, l’opposition arabe/français semble bien faire référence à l’opposition dominé/dominant, il est intéressant de noter que, sur le plan analytique, cette opposition fait également référence à l’ordre du pouvoir. Ainsi, Janine de LA ROBERTIE qui animait un séminaire sur langue maternelle et inconscient, disait au cours du colloque (19) :

« Si l’enfant en reste à la langue maternelle, on en fera un passéiste, un psychotique, un fou. Il faut qu’il accède à la langue du Père , de la Loi, des Autres. Quelque chose doit se perdre pour qu’on accède à autre chose. Une langue d’homme est une langue où il y a un Manque, lieu du Désir, un trou qui ne peut être comblé ».

Etre le père francophone par necessité mais arabophone de coeur, et la mère souvent non francophone, où situer la langue maternelle ? Est ce la langue de la mère génitrice, ou celle de la Mère ex Patrie ? En tout cas, le bilinguisme potentiel des enfants allié à l’utilisation de fait de la seule langue française traduit le refus d’identification linguistique, la démarcation d’avec le modèle parental, ce qu’on pourrait appeler un symptôme d’acculturation.

Identité, Culture, Langue, sont les trois thèmes autour desquels s’est effectuée depuis 1962 en Algérie, la politique d’arabisation ou plutôt de ré arabisation.

La querelle autour de la langue est assez significative pour que le sociologue algérien MEGHARBI distingue quatre groupes (18) :

– le premier groupe, formé de nationalistes convaincus, réclame une arabisation immédiate et générale, ne laissant aucune place à la langue française et assimilant la langue arabe à l’Islam.

– le deuxième groupe, formé de gens qui se veulent apolitiques, milite contre la langue arabe, rejette l’Islam en tant qu’idéologie aliénante. Le français a, pour eux, valeur de langue technologique et moderne.

– le troisième groupe, qui insiste sur le capital linguistique français en Algérie, propose un bilinguisme institutionnalisé. L’arabe est une langue belle, utile pour exprimer les sentiments, pour la littérature et le culte, mais le français est indispensable pour accéder au monde moderne, notamment en ce qui concerne les disciplines scientifiques.

– le quatrième groupe, enfin, constitué de nationalistes, réalistes par opposition à ceux du premier groupe, prône une arabisation intégrale mais échelonnée dans le temps. Le français est une langue étrangère, la francophonie une idée paternaliste néo colonialiste. La réhabilitation de la langue arabe est une option fondamentale de la révolution culturelle algérienne, seul moyen d’accéder à l’indépendance culturelle et à l’authenticité.

Derrière les divergences idéologiques ainsi exprimées, pointe cependant une unité, l’opposition entre langue dominée et langue dominante, ou, plus généralement, entre culture dominée et culture dominante. Le problème posé au niveau du bilinguisme se pose tout autour au niveau de la diglossie, le gouvernement algérien étant très inquiet des particularismes et du pluralisme linguistique qui pourraient conduire à un séparatisme.

C’est donc bien en termes de Pouvoir qu’il faut parler, en termes de Loi, et la langue n’y échappe pas. Roland BARTHES (1) rappelle la présence d’éléments coercitifs dans la texture même d’une langue, ce que JAKOBSON appelle les « rubriques obligatoires d’une langue ». Il ajoute que « la langue se définit par ce qu’elle permet de dire, mais aussi par ce qu’elle oblige à dire. Parler une langue, c’est se soumettre à une certaine métaphysique du sujet humain. Il y a donc une coercition de la langue sur le sujet avant même que le sujet ne naisse ».

Ainsi, au delà du linguistique, émerge le politique au sens large, grossièrement résumé par l’opposition entre les deux chaînes paradigmatiques suivantes :

arabisation islam arabisme confessionnalisme d’une part, bilinguisme socialisme marxisme laïcisation d’autre part, opposition que reflètent les deux grands courants idéologiques qui se manifestent et s’affrontent.

Rejoignant bien souvent le problème linguistique, des discussions se sont engagées par rapport à l’enseignement. Il faut rappeler qu’en 1962, l’enseignement baignait dans un contexte de francisation totale, la langue arabe n’étant pas du tout enseignée dans le cycle primaire et comme langue étrangère dans le cycle secondaire. Aussi, ne faut il pas s’étonner qu’un professeur d’arabe ait pu écrire un article intitulé « révolutionner notre langue » dans lequel il traite l’arabisation de mot magique ne correspondant pas à une réalité, qualifie la langue arabe de figée car restée en dehors de l’évolution technique et demande la latinisation de l’alphabet.

Je passerai plus rapidement sur le thème de la culture, en évoquant simplement l’importance des controverses à propos de la musique qui ont alimenté le courrier des lecteurs d’Alger Républicain, polémiquant sur l’existence ou non d’une musique algérienne, sur la nécessité ou non de créer une musique algérienne ultra-moderne, sur la diffusion ou non de musique égyptienne sur les ondes de la radio algérienne.

Quant aux rapports entre arabisation et identité, si l’arabisation de l’état-civil est un pas important et manifeste, si la question se pose elle aussi en termes de pouvoir et de légitimité nationale, il ne faut pas oublier qu’ils font intervenir un autre versant plus individuel que reprend à sa façon un article du journal El Moudjahid en parlant de « l’arabisation des cerveaux et des coeurs » qui peut s’entendre comme un renvoi aux mécanismes identificatoires.

De la même façon que s’élaborerait au niveau de la langue un arabe dit intermédiaire, faisant intervenir le phénomène du « switching », passage d’une langue à l’autre en fonction de critères essentiellement individuels non étudiables scientifiquement, de même peut-on penser que s’élabore une sorte de culture intermédiaire, d’identité intermédiaire, obligeant le migrant à jouer de l’abandon ou de l’exagération de certains traits culturels pour empêcher l’effondrement d’un Soi fêlé.

Avec cet éclairage, pas trop confus, je l’espère, notre diagnostic banal de débilité moyenne chez un enfant maghrébin va peut-être pouvoir être appréhendé autrement. Le symptôme débilité peut alors apparaitre comme un phénomène dynamique’ (10) traduisant une opposition à la norme sociale, expression comme tout symptôme psycho-pathologique d’un négativisme social (3).

En se penchant sur la structure familiale, et, plus précisément sur les membres du couple parental, en tant que modèles identificatoires il est frappant de constater que, très souvent, on retrouve chez le pére une structure assez proche du morcellement, de cette fêlure dont parle DEVEREUX, (8) vaguement recollée par un recours à des mécanismes de défense extrêmement fragiles.

C’est par rapport à ce personnage assez trouble que va s’élaborer l’identification de l’enfant. FREUD écrit : « Le petit garçon manifeste un grand intérêt pour son père, il voudrait devenir et être ce qu’il est, le remplacer à tous égards. Disons-le tranquillement, il fait de son père son idéal » (12).

Or, déjà, au niveau fondamental de la langue, l’enfant se dé marque de ce que devrait être son idéal, abandonnant la langue parentale pour privilégier la langue d’accueil. Mais en même temps, jaloux de sa singularité ethnique et de son autonomie culturelle, il développe ses propres phénomènes de résistance à l’emprunt et au prêt. Emprunt limite ne lui permettant pas de suivre une scolarité normale, et refus du pré pour ne pas faire entrer l’emprunteur dans le cercle clos du groupe in terne du prêteur.

DEVEREUX souligne que le contact entre deux groupes culturellement différents « est toujours un défi pour l’un comme pour l’autre, aussi la cause d’un changement social et culturel qui peut prendre trois formes principales : isolement volontaire, prêts et emprunts, changements dissociatif volontaire ».

Tous ces mécanismes se retrouvent chez l’enfant, aussi bien l’isolement défensif que traduit le retrait du circuit scolaire ordinaire et la marginalisation, que l’acculturation négative dissociative par régression que traduit le choix du symptôme lui-même, ce que les ethnopsychiatres appellent l’acculturation antagoniste et qui entre dans le cadre des désordres ethniques (6).

En conclusion de cette sûrement trop longue introduction, j’espère vous avoir fait percevoir la richesse de la complémentarité des discours sociologique et psychologique, cette complémentarité étant le fondement même de l’ethnopsychanalyse, dont Rachid BENNEGADI et Salima DAHOUN, tout à l’heure, vous parleront en tant que praticiens, après l’intervention sur l’approche pédagogique de Mesdames RICHARD et GIRARDIN.

Bibliographie

1 – BARTHES Roland – Aspects pédagogiques et culturels de l’arabisation au Maghreb. Séminaire interdisciplinaire au Collège de France Paris 11 mai 1977.

2 – BOURDIEU Pierre et PASSERON Jean-Claude – La Reproduction – Paris – Ed. de Minuit 1970.

3 – DEVEREUX Georges – Négativisme Social et Psychopathologie criminelle – 1940 In Essais d’ethnopsychiatrie générale – Paris – Gallimard 1970.

4 – DEVEREUX Georges – Acculturation antagoniste 1943 – In Ethnopsychanalyse complémentariste – Paris – Flammarion – 1972.

5 – DEVEREUX Georges – Les Facteurs culturels en thérapeutique psychanalytique 1953 In Essais d’ethnopsychiatrie générale – Paris – Gallimard 1970.

6 – DEVEREUX Georges – Normal et Anormal, 1956 – In Essais d’ethnopsychiatrie générale – Paris – Gallimard – 1970.

7 – DEVEREUX Georges – La voix des enfants : de quelques obstacles psychoculturels à la communication thérapeutique – 1965 In essais d’ethnopsychiatrie générale – Paris – Gallimard 1970.

8 – DEVEREUX Georges – L’identité ethnique : ses bases logiques et ses dysfonctions, 1970. In Ethnopsychanalyse complémentariste – Paris – Flammarion 1972.

9 – DEVEREUX Georges – Séminaire à l’E.P.H.E.S.S. – Paris 19 février 1977

10 – DUMONT Jean-Pierre – Débilité : signe ou entité morbide. De l’enfant débile à l’enfant symptÔme. Mémoire de CES de Psychiatrie Paris – 1976.

11 – DUMONT Jean-Pierre – La Débilité chez l’enfant de travailleur immigré maghrébin – Tentative d’approche ethno-psychiatrique D.E.A. à l’E.P.H.E.S.S. – Paris 1977.

12 – FREUD Sigmund – L’identification. In Essais de Psychanalyse – Paris Payot – 1967.

13 – GOBARD Henri – L’aliénation linguistique : Analyse tétraglossique Paris – Flammarion 1976.

14 – GRANDGUILLAUME Gilbert – Séminaire à l’E.P.H.E.S.S. Paris 1977.

15 – GRANDGUILLAUME Gilbert – Aspects pédagogiques et culturels de l’arabisation au Maghreb. Séminaire interdisciplinaire au Collège de France Paris – 11 Mai 1977.

16 – GREEN André – Atome de parenté et relations oedipiennes. In L’identité Séminaire dirigé par Claude LEVI-STRAUSS – Paris – Grasset 1977.

17 – IZARD Michel – A propos de l’identité ethnique. In L’identité séminaire dirigé par Claude LEVI-STRAUSS – Paris Grasset 1977.

18 – MEGHARBI Mohamed – Aspects pédagogiques et culturels de l’arabisation au Maghreb – Séminaire interdisciplinaire au Collège de France – Paris – 11 mai 1977.

19 – ROBERTIE Janine de la – Aspects pédagogiques et culturels de l’arabisation au Maghreb – Séminaire interdisciplinaire au Collège de France – Paris – 11 mai 1977.

20 – TABOADA-LEONETTI Isabel – Le Problème de l’identité chez les immigrés. In les travailleurs émigrés. Sociologie du travail – Paris Seuil 1972 – 3

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